Qui suis-je ?

Après des études en sciences de la vie, puis en métiers de l'enseignement, je me forme à la psychologie.

Chaque être humain est déterminé par l'ensemble de ses gènes, mais également par son environnement

Qu'il s'agisse d'un traumatisme, d'une carence affective, voire de la perte d'un être cher...l'environnement nous influence plus qu'on ne le pense. 

Chacun d'entre nous possède ses propres faiblesses. Les connaître, ainsi que leur cause, les transforme en forces

C'est à ce moment que j'interviens.

Ma volonté est de combiner les approches psychanalytiques et psychopathologiques.

Quelle perturbation, durant l'enfance, expliquerait mon mal-être actuel ?

Je propose également, suivant votre demande et en complément de la psychothérapie, l'EFT, la luminothérapie et la relaxation en musique

Mon travail est de vous aider à "prendre conscience", pour "résoudre des problèmes psychiques" et "atteindre l'état de bien-être" tant espéré. 

Le mot AIDE est très important : le travail psychothérapeutique nécessite l'implication du praticien, mais également du patient.

Malgré le plaisir que j'aurai de vous recevoir, ma recherche n'est pas de conduire une psychothérapie sur le long terme, à moins que vous en fassiez la demande. 

Une fois que les clés du bien-être sont en votre possession, et que la psychothérapie se sera achevée, rien ne vous empêche de me donner des nouvelles, bien au contraire !

Approches psychothérapeutiques

 

Je suis en mesure de traiter :

- Une situation de mal-être

- Une difficulté relationnelle (pathologique ou non)

- Un trouble psychologique, cognitif ou comportemental

- Les blessures du passé

- Les Troubles de conduites alimentaires

- La dépression nerveuse

- Les troubles anxieux

- Les pathologies de l'enfant et de l'adolescent

- Les troubles somatoformes 

- Certains troubles de la personnalité

- Les Troubles du contrôle des impulsions (TCI)

- Certaines paraphilies

- Les troubles de l'identité sexuelle  

 

L'association des approches psychologiques, psychanalytiques, mais également psychopathologiques peut s'avérer d'une grande aide pour remédier à ces maux !

 

Nos actualités

L'anorexie : un trouble du comportement alimentaire

Le 06/03/2024

Étymologiquement l’anorexie est un manque d’appétit. En psychanalyse, l’anorexie correspond a un refus de s’alimenter à cause d’un état mental particulier. C’est un désir pathologique de ne pas prendre de poids. Il existe deux catégories d’anorexie : - L’anorexie classique où la perte d’appétit est secondaire, liée à la restriction volontaire et souvent inavouée de l’alimentation. - « L’anorexie-boulimie », l’individu présente des crises de boulimie avec après coup des vomissements ou des purgatifs. Le premier est un refus total de manger et le deuxième une orgie suivie d’une purge. Les deux types conduisent à des pertes de poids qui peuvent mener à la mort ou des troubles cardiaques graves. Les données épidémiologiques indiquent que la fréquence de l’anorexie est en augmentation dans les sociétés occidentales ou la « minceur » fait figure d’idéal. Elle se manifeste classiquement dans toutes les classes sociales au sein de familles pour lesquelles la promotion sociale et la réussite scolaire ont une grande importance. Sources : https://www.efpp.pro/details-l+anorexie+un+trouble+du+comportement+alimentaire-371.html

Anorexie, angoisse et fonctionnement névrotique

Le 06/03/2024

Pour limiter la manifestation d’angoisse, un individu peut essayer de rediriger son énergie libidinale sur un trouble, quel qu'il soit. La masturbation, infantile ou non, est de cette manière un mécanisme de défense contre l’angoisse. L’énergie interne étant trop intense, l’individu agit en vue de la laisser sortir une angoisse latente et de s’en libérer. Comme pour le besoin de masturbation, l’hypocondrie révèle un trop-plein d’énergie libidinale. Cette pathologie n’est autre qu’une obsession envers un objet désigné : la maladie. Une autre thématique de plus en plus observable dans la société contemporaine, l’anorexie mentale, utilise également ses obsessions pour libérer cette libido déroutante. L’individu malade utilise sa pathologie comme mécanisme de défense contre l’angoisse, instaurant des rituels rassurants. Le comptage des calories, la pesée régulière, et le sport à outrance sont des pratiques ritualisées qui mènent à la perte de poids. Il existerait de cette manière un déplacement de l’angoisse sur un objet phobique : l’aliment. L’assiduité de l’individu envers ses obsessions l’oblige à suivre une routine bien pensée, à agir, et donc à se rassurer. La névrose obsessionnelle est donc une manière de lutter contre les manifestations psychiques désagréables telles que l’angoisse (Chassaing et al., 2009 ; Kipman et al., 2001). La névrose est guidée par trois facteurs : biologique, phylogénétique et psychologique. D’un point de vue psychologique, l’angoisse vient d’une appréhension du sujet quant à sa capacité de gestion de ses propres pulsions. Or, plus il y a du refoulement, plus le désir s’intensifie, et plus l’individu entre dans un cercle vicieux pathologique. Le désir crée un manque également vécu comme une faute. Changez le sens de cette faute, en lui donnant un contenu, explique la naissance de la culpabilité, et indirectement son rapport avec l’angoisse (Baas, 2012). Source : https://psychotherapie.efpp.pro/

Reconnaître un pervers narcissique (PN)

Le 08/08/2023

Homme ou femme, le pervers narcissique peut être reconnu par la prise en considération de plusieurs traits de caractères. L'assemblage de ces caractéristiques ne laisse aucun doute quant à la mise au jour de cette pathologie. Lesquels sont ils ?

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Emotions

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Troubles anxieux

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Troubles addictifs

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Troubles des conduites alimentaires

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  • Sallanches

 

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Date de dernière mise à jour : 21/06/2024