Le père fondateur de la génétique : Gregor Mendel

Il avait un goût particulier pour le jardinage et dans l’un des jardins d’un couvent, il a mené des études fondamentales et fondatrices sur la transmission des générations de plantes.

C’est en 1866 qu’il publie ses recherches, connues aujourd’hui sous le nom de « lois de Mendel ».

L’hérédité selon Mendel est un modèle général de transmission des traits des parents à leur progéniture.

Mendel a effectué des milliers d’expériences pour établir ces lois.

Les lois de Mendel font référence à des traits observables chez les individus.

Mendel a été le premier à concevoir avec grande précision une théorie générale de l’héritage biologique, faisant suite à des interprétations sans rigueur dans lesquelles l’expérimentation consistait en un mélange des sangs.

Si les lois de Mendel n’ont pas été prises en considération tout de suite, le monde scientifique reconnaît aujourd’hui à Mendel la qualité de son travail, dans les registres de la méthodologie, de la rigueur, de l’observation et de la conceptualisation.

Son travail est devenu une part non-négligeable de l’enseignement de la biologie et ses lois sont perçues comme une généralisation inductive à partir de résultats d’expérimentation méthodique.

Les trois lois de Mendel posent les grands principes de toute l’hérédité biologique, même si au XIX ème siècle, on utilisait déjà certaines théories sur la reproduction et la transmission intergénérationnelle.

Cet ensemble de travaux est à mettre en parallèle de ceux de Darwin, à propos de la sélection naturelle.

Mendel va répondre aux nombreuses questions autour de la ressemblance et de la différence entre parents et enfants.

Les travaux de Mendel portent sur les facteurs phénotypiques, c’est-à-dire les conséquences visibles sur les générations successives de plantes.

Source : https://efpp.blog/le-pere-fondateur-de-la-genetique-gregor-mendel/